Nos employés témoignent.

Vous souhaitez des informations de première main sur ce à quoi vous pouvez vous attendre en travaillant chez FerroMac?
Lisez ci-après les témoignages de vos futurs collègues.
Maarten Hawinkel | Stagiaire seconde génération
“Tout comme mon frère, j’ai passé un an auprès d’une famille bolivienne après avoir terminé mes humanités. Dès que j’aurai l’occasion de voyager en Amérique latine pour affaires, je ne manquerai pas d’aller les visiter.” Il se pourrait bien que Maarten Hawinkel, stagiaire trader chez FerroMac, y aille au printemps prochain.
J’aime la dynamique du marché

“Le Coronavirus, Trump et la Chine, … Tout a un impact sur notre business. Comprendre cet impact et savoir comment le traiter, voilà ce qui me stimule le plus. Tout cela, ainsi qu’apprendre la pratique de la part des collègues, voilà qui est formidable. Et vous savez aussi que vous ferez des voyages. FerroMac n’est pas une entreprise où l’on passe son temps au téléphone ou en écrivant des courriels. Tout tourne autour des contacts personnels et la force de la persuasion.”

Le I de Impact

“Jusqu’à présent je n’ai encore rien rapporté à la firme. Mais je sais que très bientôt j’aurai un impact, et bien plus important que celui que n’importe qui de mon âge pourrait avoir chez Coca-Cola. Vous apprenez les dynamiques géopolitiques, et à négocier, organiser sa journée, établir des priorités, prendre des décisions, travailler avec rapidité. Et tout cela en y trouvant du plaisir. Nous partageons tous le même enthousiasme et la même passion, tout en étant chacun différent.”

Toutes les cases

“Pourquoi j’ai rejoint FerroMac? Toutes les cases de la description de fonction correspondaient parfaitement. C’est aussi simple que ça. Initialement le créneau de l’acier ne m’intéressait pas vraiment.  Mais ensuite j’ai lu un courriel d’un ami et cela m’a intrigué. Je les ai appelés et on m’a répondu qu’il n’y avait pas de jobs pour l’été. Quelques mois plus tard on m’a contacté pour ce poste de stagiaire. J’étais vendu.”

Zoë De Schutter | Stagiaire première génération

“En général, on pourrait dire que le monde de l’acier est une affaire d’hommes. Mais chez FerroMac c’est différent. On fait partie de l’équipe. Homme ou femme, il n’y a pas de différence.” Zoë De Schutter est à présent junior trader acier pour le marché africain, elle a commencé sa carrière en tant que stagiaire trader en 2018.

Le I de International

“L’amour du commerce international est une chose que nous avons tous en commun chez FerroMac. J’ai toujours aimé voyager. Pour mon master j’ai passé six mois en Erasmus à Hong Kong. Et maintenant chez FerroMac on voyage réellement vers des endroits et on les explore. Il s’agit de bien plus que d’envoyer des courriels à Pékin ou de téléphoner au Lagos.”

Le goût de l’Afrique

“Je me souviens très bien de mon premier voyage en Afrique occidentale. J’accompagnais mon trader senior. Première étape: le Burkina Faso. Pas vraiment un pays aux belles plages et mer bleue. C’était à la fois passionnant et dur. Surtout pour une jeune fille sans expérience, dans un pays et une culture inconnus jusque là. Mais quelle expérience inoubliable ! Cela aussi c’est un seuil qu’il faut franchir.”

Bilan
“Ceci n’est pas un environnement pour des personnes timides. Il faut du courage pour accomplir les tâches. Il faut toujours respecter les échéances et prendre des décisions rapides. Il faut aussi faire preuve d’autonomie, par exemple lorsqu’on voyage. Mais en même temps l’équipe s’occupe de vous. Nous disposons même d’une chambre noire pour une petite sieste éclair. Et vous pouvez prendre jusqu’à trois jours de repos par an. Ce n’est certainement pas un environnement comme les autres.”
Zoë De Schutter | Stagiaire première génération

“En général, on pourrait dire que le monde de l’acier est une affaire d’hommes. Mais chez FerroMac c’est différent. On fait partie de l’équipe. Homme ou femme, il n’y a pas de différence.” Zoë De Schutter est à présent junior trader acier pour le marché africain, elle a commencé sa carrière en tant que stagiaire trader en 2018.

Le I de International

“L’amour du commerce international est une chose que nous avons tous en commun chez FerroMac. J’ai toujours aimé voyager. Pour mon master j’ai passé six mois en Erasmus à Hong Kong. Et maintenant chez FerroMac on voyage réellement vers des endroits et on les explore. Il s’agit de bien plus que d’envoyer des courriels à Pékin ou de téléphoner au Lagos.”

Le goût de l’Afrique

“Je me souviens très bien de mon premier voyage en Afrique occidentale. J’accompagnais mon trader senior. Première étape: le Burkina Faso. Pas vraiment un pays aux belles plages et mer bleue. C’était à la fois passionnant et dur. Surtout pour une jeune fille sans expérience, dans un pays et une culture inconnus jusque là. Mais quelle expérience inoubliable ! Cela aussi c’est un seuil qu’il faut franchir.”

Bilan
“Ceci n’est pas un environnement pour des personnes timides. Il faut du courage pour accomplir les tâches. Il faut toujours respecter les échéances et prendre des décisions rapides. Il faut aussi faire preuve d’autonomie, par exemple lorsqu’on voyage. Mais en même temps l’équipe s’occupe de vous. Nous disposons même d’une chambre noire pour une petite sieste éclair. Et vous pouvez prendre jusqu’à trois jours de repos par an. Ce n’est certainement pas un environnement comme les autres.”

Jasper Verleyen | FX Trader

J’ai de l’expérience du travail dans de grandes entreprises à structure verticale stricte; ce fut donc pour moi un choc culturel et il m’a fallu quelque temps pour m’adapter à la culture d’entreprise de FerroMac.

En fait, c’est comme si on vous donnait les clefs d’une voiture et que dès le premier jour vous êtes au volant. Ceci vous permet d’organiser votre travail comme bon vous semble, mais vous êtes aussi responsable de toutes les bosses et éraflures éventuelles causées en cours de route. Lors de mes autres emplois j’étais souvent frustré de voir que de mauvaises décisions se traduisaient par des résultats médiocres et des situations de travail stressantes. FerroMac m’a donné l’opportunité d’assumer mes propres responsabilités et de joindre la parole au geste. “Own it” voilà ce que Bart me dirait.

Le monde dans lequel nous vivons change rapidement tous les jours. Il y a tellement d’éléments changeants qu’il est essentiel de faire des projets à long terme, sur la base de données solides et fiables. Je fournis à notre direction des scénarios crédibles sur ce qui se passe et ce qui va se passer sur les marchés. De quelle manière est-ce qu’une décision d’une banque centrale à propos des taux peut avoir un impact sur notre entreprise et sur notre exposition aux taux de change ? Je crois sincèrement que si vous établissez un planning solide et que si vous vous y tenez, vous obtiendrez toujours les meilleurs résultats. C’est aussi la seule manière de gagner de l’argent sur les marchés internationaux, sans que les émotions ne prennent le dessus.

Ce que j’apprécie le plus chez FerroMac c’est la flexibilité qui fonctionne dans les deux sens. Vous donnez beaucoup mais vous recevez beaucoup en retour. Cela me motive pour faire le petit effort supplémentaire lorsque c’est nécessaire. Un bon exemple est le coach que le management a engagé pour nous. Une fois par semaine nous faisons un entraînement très intensif et, honnêtement, je ne me suis jamais senti en meilleure forme. Ceci m’aide à surmonter les moments difficiles et surtout à garder le moral. C’est pour moi la principale différence entre FerroMac et tous les autres endroits où j’ai travaillé. Le fait d’être ici me stimule à ne pas me reposer sur mes lauriers, et à essayer des choses que je n’aurais jamais cru possibles.